La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
la menace de faillite de l’UMP qui, contraint de devoir rembourser la dernière campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy et n’en n’ayant pas les moyens, a dû lancer une vaste collecte nationale. Gardant le spectre de cette situation en tête, les cadres du Parti Socialiste ont, semble-t-il, décidé qu’il valait mieux prévenir que guérir. D’après les informations de RTL, ceux-ci auraient ainsi entrepris d’économiser pour pouvoir faire face à une éventuelle défaite lors des prochaines élections municipales. L’objectif serait ainsi de réussir à rassembler 15 millions d’euros d’ici 2017.
Le PS met de l’argent de côté au cas où. L’été dernier a notamment été marqué par"La perte sèche risque d’être énorme"Alors que le PS est en grande partie financé par les cotisations des élus, lesquels versent 10% de leur rémunération au parti, Harlem Désir et son équipe redoutent notamment qu’en cas de défaite aux élections locales de 2014, ils se retrouvent dans l’incapacité de payer les salariés du parti. Un scenario d’autant plus plausible qu’un récent sondage Ifop révélait que plus d’un quart des Français songeaient à profiter des élections municipales pour sanctionner François Hollande. "Si on prend une raclée aux élections municipales, cantonales et régionales, la perte sèche risque d'être énorme", a d'ailleurs commenté un responsable du parti à la première radio de France. Après la défaite du "champion de la droite" en mai 2012, l’UMP avait,quant à elle, dû se séparer d’une partie de ses salariés, faute de pouvoir les payer.
RTL a toutefois tempéré la situation en soulignant que les comptes du parti du Parti Socialiste sont loin d’être dans le rouge avec des recettes atteignant 60 millions d’euros cette année.