De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Henri Guaino
La plume de Nicolas Sarkozy, quand il était président, vient de se déclarer candidat à la primaire des Républicains, lundi sur France Inter. "Il manque sur l’échiquier politique cette famille qui s’appelait le gaullisme", a-t-il expliqué.
La primaire des Républicains et du centre, qui désignera le candidat de la droite pour l'élection présidentielle, doit se tenir en novembre de cette année. En attendant, plusieurs ténors du parti, tel Henri Guaino, se sont déclarés candidats. D'autres sont encore pressentis, au premier rang duquel Nicolas Sarkozy, président des Républicains.
Jacques Myard
"Je suis gaulliste depuis toujours, mon engagement politique c'est la souveraineté de la France, c'est-à-dire que ce peuple, cette nation garde la maîtrise de ses décisions", a déclaré Jacques Myard en annonçant, début avril sur LCI, sa candidature. Pour l'instant, le député des Yvelines n'a pas de soutiens déclarés parmi les parlementaires.
Geoffroy Didier
Le vice-président (LR) de la région Ile-de-France, 39 ans, a annoncé fin mars sa candidature lors d'une interview à Direct matin. Comme l'indique un article de l'Opinion, le jeune loup des Républicains n'a pas encore de soutiens parmi les parlementaires.
Nathalie Kosciusko-Morizet
Nathalie Koscisuko-Morizet s'est déclarée candidate lors d'une journée particulière, celle de la Journée internationale de la femme, le 8 mars dernier. Pour l'instant, la liste des premiers soutiens parlementaires de NKM n'a pas encore été dévoilée. Plutôt en peine pour obtenir des soutiens, Nathalie Kosciusko-Morizet pensait démarcher des élus de gauche grâce à une faille du règlement interne à la primaire des Républicains. Une faille vite réparée trois semaines après la candidature de NKM.
Bruno Lemaire
Le député de l'Eure a officialisé sa candidature le 23 février lors d'un déplacement à Vesoul. Le 11 mai, Bruno Le Maire a déposé ses parrainages. Il a obtenu le soutien de 351 élus dont 32 parlementaires et plus de 3 000 adhérents.
Alain Juppé
En février dernier, l'ancien Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, a apporté son soutien à un autre ancien chef de gouvernement, Alain Juppé, candidat déclaré à la primaire. Mais le maire de Bordeaux a reçu aussi les soutiens de François Bayrou, et du député Edouard Philippe.
François Fillon
Concernant l'autre ancien Premier ministre, celui-ci peut compter sur les soutiens de Patrick Devedjan, Gérard Larcher, ou bien Pierre Lellouche.
Jean-François Copé
Candidat depuis février dernier, Jean-François Copé n'a pas (encore) reçu de ralliement.
Nadine Morano
Esseulée depuis la polémique sur "la race blanche", Nadine Morano affirme cependant avoir reçu le soutien de nombreux militants lui permettant de pouvoir collecter les 2 500 signatures de militants requis pour concourir à cette primaire.
Hervé Mariton
Faute de soutiens de poids, le député (LR) de la Drôme a annoncé sur Sud Radio et Public Sénat le 30 octobre 2015, qu'"il y a plusieurs dizaines de parlementaires qui travaillent" avec lui.
Frédéric Lefebvre
Frédéric Lefebvre n'a pour l'instant aucun soutien déclaré.
Jean-Frédéric Poisson
Successeur de Christine Boutin à la présidence du Parti chrétien démocrate, l'outsider de cette primaire peut au moins compter sur le soutien de l'opposante au mariage homosexuel.