La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
C’est le dernier “scandale” en date dans la course aux législatives. Cette semaine, le candidat NUPES aux législatives dans la 14ème circonscription du Rhône, Taha Bouhafs, a été contraint de retirer sa candidature. Des témoignages l’accusent de violences sexuelles. Ce journaliste de 25 ans, proche de la France Insoumise, dénonçait, peu de temps avant, les attaques racistes dont il était victime depuis qu’il avait annoncé sa candidature. Il avait alors été soutenu par une grande partie de la gauche.
Et si l’affaire fait grand bruit, le cas Taha Bouhafs n’est pas unique en son genre.
Dans le paysage politique français, de nombreux dirigeants sont, en réalité, loin d’être irréprochables.
Avant LFI, d’autres partis se sont débarrassés de candidats “gênants”, au passé peu reluisant et dans le viseur de la justice. Mais pour d’autres, investis malgré leur casier judiciaire ou leurs mises en examen, cela ne semble pas gêner. Découvrez dans notre diaporama les 7 candidats qui trainent de lourdes casseroles.
LREM : les “casseroles” des candidats du parti présidentiel
Dernièrement, le journal Libération rapportait que l’écrivaine Zineb El Rhazoui était pressentie pour être investie par la majorité présidentielle à l’occasion des législatives. Sauf que finalement, sa candidature gêne, notamment à cause d’une photo la montrant avec un youtubeur d'extrême-droite, exhumée en 2019. Le 9 mai dernier, Christophe Castaner assurait ainsi au micro de franceinfo que Zineb El Rhazaoui ne serait pas candidate au sein de Renaissance.
Une autre affaire a récemment embrasé le parti d’Emmanuel Macron. En août 2017, le député de la 9ème circonscription des Français à l’étranger M’jib El Guerrad frappe à coups de casque le socialiste Boris Faure, lors d’une altercation en pleine rue. Il n’a jamais été démis de ses fonctions pour autant. Le 12 mai 2022, il est condamné à trois ans de prison et deux ans d’inéligibilité. Aucun risque donc, que lui soit candidat à sa succession.