Parmi les 51 hommes accusés d’avoir violé Gisèle Pelicot, Christian L., un pompier professionnel, est également jugé pour détention d’images pédopornographiques. Sa compagne a été entendue comme témoin...
La polémique a commencé avec la biographie en ligne de Bruno Le Roux, qui prétendait que le politicien était "ancien élève de HEC et de l'ESSEC". Elle a été repérée par Atlantico dans un article publié mercredi dernier, et dans lequel le site a prouvé que ce prétendu cursus était faux. Interrogé par Marianne, le cabinet du nouveau ministre de l'Intérieur avait alors blâmé "une personne qui a mal interprété les diplômes".
Dans une interview accordée à Paris Match, diffusée lundi, l'homme d'État a assuré de nouveau que le militant ayant écrit sa biographie avait "réinterprété" son parcours. Innocemment, il a lancé au magazine : "À aucun moment, je n’ai prétendu que j’étais ancien élève des cursus normaux de ces écoles".
Une confusion sur son parcours étudiant
Bruno Le Roux a en revanche expliqué qu'il a bien suivi des cours dans les deux prestigieuses institutions affichées dans sa biographie en ligne. D'après lui, le diplôme qu'il a obtenu, un DEA, "était délivré par l’université, en l’occurrence par Nanterre, mais assuré par le programme doctoral de HEC et de l’ESSEC".
"La moitié des études se déroulait sur le campus de l’Essec et l’autre moitié sur le campus de HEC", a conclu le ministre. Il a assuré que, par prudence, il "validera(it) personnellement les deux documents qui seront publiés sur le site du ministère de l’Intérieur".