Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
"Je l'avais dit au départ: je voulais qu'on me laisse le temps, on ne me l'a pas laissé, mais, bon, bah voilà je l'ai pris. (...) Il m'a fallu le temps de prendre mes marques". Plus d’un an après avoir enfilé ses bottes de Première dame, Valérie Trierweiler semble enfin à l’aise dans son rôle. Ses débuts ont été difficiles et sa cote de popularité en a pris un coup mais la journaliste de Paris Match s’est accrochée et il semblerait bien qu’elle soit décidée à se montrer sous un nouveau jour.
On l’avait connue prolixe, n’hésitant pas à tweeter contre l’ex-compagne de François Hollande, et peu farouche, allant même jusqu’à attraper le président par le col en lui demandant de l’embrasser "sur la bouche". Désormais, Valérie Trierweiler s’affiche moins.
"Je vais là où j’ai envie d’aller"
Plus discrète donc mais aussi plus encline à s’acquitter de ses devoirs, elle accompagne plus fréquemment le chef de l’Etat dans ses déplacements. Au cours du dernier en date, en Afrique du Sud, elle s’est même allée jusqu’à improviser une danse avec des enfants de Soweto. "J'ai écouté mon coeur, je vais là où j'ai envie d'aller", a-t-elle déclaré au micro de BFM TV pour expliquer sa présence.
Et d’ajouter : "Quand on va dans un voyage officiel, c'est avoir du temps pour être au contact de la population. Le président n'a pas forcément le temps de faire ça, moi je m'échappe et je veux être au plus près de la population qui souffre en particulier".
Elle se concentre sur l’humanitaire
Mais si Valérie Trierweiler cultive une certaine discrétion, elle n’en demeure pas moins active. Lorsqu’elle n’est pas sous le feu des objectifs des photographes, la Première dame fait en effet de l’humanitaire. Des activités moins exposées et au cours desquelles ses propos ont moins de chance d’être repris, voire moqués.
"Je suis un autre relais qui peut sans doute être plus utile dans l'humanitaire que dans la parole politique", confiait-elle d’ailleurs lors d’un voyage en République démocratique du Congo en juillet dernier. Quant à son image, la Première dame a pris soin de la préserver. Un an après ses premières vacances avec François Hollande président et l’affaire des photos du couple en maillot de bain, la Première dame a préféré s’éloigner et partir à l’étranger. Après avoir séjourné en Grèce avec ses enfants à l’abri des regards, elle s’est ensuite réfugiée avec son compagnon à La Lanterne. Exit donc les clichés d’elle en deux-pièces cet été.
Fini le style bobo
Question style, Valérie Trierweiler cultive toujours une certaine sobriété, Première dame oblige, mais s’autorise depuis peu de temps à porter des couleurs plus flashy. Des choix couronnés de succès qui ont même conduit à lui conférer le statut, certes non-officiel mais tout autant flatteur, d’ambassadrice de l’élégance française. Et si la Première dame peut se vanter des efforts qu’elle a accomplis pour "rentrer dans le moule", elle reconnaît toutefois que certaines choses lui ont été soufflées par Carla Bruni-Sarkozy. "Elle m’a donné de précieux conseils. Tout ce qu’elle m’avait dit à ce moment-là s’est révélé vrai", a-t-il confessé.