Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Imaginez Jacques Chirac nu comme un ver scrutant la mer depuis l’un des balcons du Fort de Brégançon. La scène peut sembler surréaliste et pourtant, elle a bel et bien eu lieu ! En 2001, alors qu’il était encore chef de l’Etat, le Corrézien s’est en effet offert à l’objectif des photographes dans le plus simple appareil.
A lire aussi – Politiques : leurs meilleures photos de vacances
Ainsi que l’a rapporté un article du Canard Enchaîné cette année-là, Jacques Chirac, qui séjournait dans ce château du Var réservé aux chefs de l’Etat, serait sorti sur l’un des balcons offrant une vue imprenable sur la mer. D’abord en "slip", l’ex-locataire de l’Elysée aurait ainsi admiré la vue avec des jumelles, sous l’œil avisé de son service de sécurité… et de quatre photographes alors en planque. Ce n’était "pas un slip chic" mais "plutôt le genre avachi", précisait même le journal.
Au balcon, dans le plus simple appareil
Ignorant la présence des photographes, Jacques Chirac aurait réitéré l’expérience quelques minutes plus tard, mais cette fois-ci sans son slip. L’ancien président serait en effet revenu admirer la vue avec uniquement une paire de jumelles. Une scène à laquelle les quatre photographes ne s’attendaient vraiment pas - on imagine aisément l’expression de leurs visages à ce moment-là – mais qu’ils ont toutefois immortalisée avec plusieurs clichés.
Des clichés jamais dévoilés
Toujours d’après les informations de l’hebdomadaire satirique, les quatre professionnels se seraient ensuite concertés et auraient décidé d’un commun accord de ne pas publier ces photos compromettantes pour l’image de celui qui était alors président de la République. L’un d’entre eux aurait cependant enfreint cet accord en contactant par la suite des rédactions parisiennes pour tenter de vendre ces fameux clichés. Sollicité, le patron de Paris Match les aurait refusés, arguant qu’ils étaient "dégradants et humiliants". Un avis que d’autres patrons de presse ont visiblement partagé puisque jamais ces photos n’ont été dévoilées. "Mise au courant, la redoutable Claude Chirac, conseillère en communication de son père, parviendra à étouffer le scandale et à récupérer tous les clichés", croit de son côté savoir Le Parisien.