Ils effectuaient des travaux de rénovation de longue date, quand les nouveaux habitants d'une maison ont découvert par hasard le cadavre réduit à l'état de squelette de l'ancien propriétaire, porté disparu...
Gérard Depardieu fait encore parler de lui ! Dans une interview accordée au magazine Studio Ciné Live, l'acteur, connu pour ses prises de positions virulentes et ses coups de gueule récurrents, revient sur les hommages que le monde du cinéma français lui accorde, notamment celui d'une exposition de la Cinémathèque française lui étant dédiée : "Le milieu du cinéma est devenu politique, ça m'emmerde. Ils veulent me rendre hommage, je ne peux pas les en empêcher puisque je suis un personnage public, mais je n'ai pas du tout envie d'y participer. Ça me gonfle. Quand le cinéma arrêtera de se cirer les pompes, on verra. J'ai tourné dans deux cents films, je n'ai pas besoin de la Cinémathèque. Les expositions de Renoir ou de Truffaut qu'elle a organisées étaient très réussies. Il vaut donc mieux être mort pour y aller" et d'enfoncer le clou : "Sans fausse modestie, quand on est dans la lumière et quand on est à ce point protégé, on ne va pas, en plus, se gargariser de compliments".
Avant de tacler les acteurs français : "Les acteurs bougent trop aujourd'hui. On sait tout de leur personnage avant qu'ils balancent une réplique. C'est dommage parce que le film en pâtit forcément". Du grand Gérard, en somme.
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