Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Un mois s’est écoulé depuis la disparition de Françoise Hardy. Le 11 juin 2024, la chanteuse s’est éteinte à 80 ans après un long combat face à la maladie, comme l’a révélé son fils Thomas Dutronc sur les réseaux sociaux. "Maman est partie…", a-t-il sobrement annoncé en dévoilant un cliché de jeunesse avec sa maman sur Instagram, recueillant une vague de soutiens des internautes.
Jean-Marie Périer revient sur ses liens avec Françoise Hardy
Icône phare de la variété française, l’interprète de Comment te dire adieu a marqué des générations de fans et conquis le cœur de ses admirateurs. Mais également de nombreux hommes comme le père de son fils, Jacques Dutronc, ou avant son ex-compagnon Jean-Marie Périer, avec qui ils ont formé un trio amoureux. Dans un entretien paru ce 12 juillet dans Le Parisien, le photographe est revenu sur leur relation durant la période yéyé.
"C’était une môme de 18 ans, ce qu’elle voulait c’est qu’on aille au bord du lac en se tenant la main. C’est idiot", s’est souvenu celui qui a partagé la vie de Françoise Hardy, comme son rival, qui avait la réputation d'être un bourreau des cœurs. "Jacques, ce n’est pas de sa faute, il avait 23 ans et des kyrielles de filles qui dormaient dans son escalier".
"Je devais la voir samedi, et le vendredi dans la nuit elle m’envoie un message…" - Jean-Marie Périer dans Le Parisien
Malgré leur séparation, le demi-frère d’Anne-Marie Périer et la mère de Thomas Dutronc sont restés en bons termes. Jusqu’aux derniers jours de sa vie, comme il l'avoue à nos confrères. "J’avais la chance d’habiter depuis un an à 300 m de chez elle. Je l’ai vue jusqu’au bout. Elle a souffert pendant 15 ans et à la fin c’était devenu infernal", a-t-il confié en faisant des révélations. "Je devais la voir samedi, et le vendredi dans la nuit elle m’envoie un message, une photo de son écran dans le noir avec simplement écrit ne viens pas demain… Puis ça a été l’hôpital, et la fin…".
Un mois après le décès de son amie, l’octogénaire présent à ses obsèques ne réalise toujours pas son départ. "Ça paraît des années déjà… Je suis content pour elle, elle en a tellement bavé. Il faut savoir mourir à temps. Et quand on veut", et de conclure auprès du journal. "Je n’ai pas demandé à vivre, mais je dois avoir le droit de décider quand partir". Retour en images sur leur relation dans notre diaporama.