La fin de semaine et le week-end du 7 décembre seront marqués par un net refroidissement des températures et un risque de chutes de neige sur une bonne partie du pays. Voici, d'après les prévisions de La Chaîne...
Enrico Macias : victime d’une escroquerie ?
L’été dernier, l’illustre auteur, compositeur et interprète, notamment connu pour des titres tels que "Enfants de tous pays", ou "Les filles de mon pays" a été contraint d’accepter une défaite. Celle qui l’opposait depuis près de 12 années à la filiale luxembourgeoise d'une banque islandaise répondant au nom de Landsbanki Luxembourg.
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Les prémices de cette affaire remontent à 2006. A l’époque, Enrico Macias souhaite réaliser des travaux dans sa villa tropézienne. Il décide alors de se tourner vers Landsbanki Luxembourg. La promesse ?
Obtenir un prêt extrêmement conséquent (35 millions d’euros alors qu’il en avait demandé 5 millions initialement). En contrepartie de cela, Enrico Macias se doit de mettre sous hypothèque la maison en question. C’est là que les ennuis commencent.
L’établissement bancaire est touché de plein fouet par la crise économique. Il est placé en liquidation judiciaire. Les clients, à l’instar d’Enrico Macias, qui avaient contracté ce prêt hypothécaire voient, dans un premier temps, tous leurs biens immobiliers être mis en vente. Pour faire en sorte de récupérer sa villa, le chanteur porte plainte. S’en ensuivront alors pas moins de 10 années de procédure.
Enrico Macias : son patrimoine en danger
Sauf qu’en août dernier, le tribunal correctionnel de Paris a tranché. La banque Landsbanki a été relaxée. Quant à Enrico Macias, il est aujourd’hui supposé rembourser les 35 millions d’euros empruntés, faute de quoi il pourrait véritablement perdre son seul et unique bien immobilier.
A l’aube de ses 80 ans (il les aura en décembre prochain), l’artiste risque donc bien de se retrouver à la rue. L’an passé à la même époque à l’approche de son procès, il s’insurgeait déjà dans les colonnes de Nice-Matin. "Cela fait dix ans que je vis avec la peur au ventre de perdre mon seul bien. J'ai sué pour l'avoir. J'ai travaillé près de cinquante ans pour obtenir ce privilège d'avoir une belle propriété".
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