Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Il pourrait sans aucun doute raser Paris. Satan 2, le dernier missile nucléaire développé par la Russie, menace plusieurs des grandes villes de l’Occident, puisqu’il fait preuve d’une capacité d’action de 10 000 kilomètres, d’après le quotidien régional La Dépêche. Très concrètement, cela signifie que Vladimir Poutine pourrait, s’il le souhaitait, s’en prendre à Londres ou même à des cités de la côte ouest américaine. D’autant plus, poursuivent nos confrères, que l’ogive est supposément équipée d’une technologie furtive, afin de l’aider à tromper les systèmes radars ennemis.
Les trente mètres de haut et la centaine de tonnes de ce colosse de métal cachent aussi une puissance nucléaire sans commune mesure ; potentiellement inégalée à ce jour. A en croire les informations Russe, Satan 2 est en effet en mesure de contenir jusqu’à douze têtes nucléaires. De quoi détruire un territoire de "la taille du Texas ou de la France" en quelques secondes…
Guerre en Ukraine : à quoi ressemble le missile qui pourrait supposément détruire la France ?
Dans les faits, Satan 2 ne s’appelle pas véritablement comme cela. C’est le nom qu'ont donné les experts de l’OTAN à ce missile, dont l’intitulé officiel est "RS-28 Sarmat". Il a été construit pour remplacer d’autres missiles, jugés vieillissants par les autorités du Grand Ours, intitulé "R-36M". Ils étaient d’ailleurs surnommés Satan.
Le compte Twitter Russian Exercice, qui référence les exercices militaires russe sur la base de sources officielles validées par le Kremlin, publiait récemment une image du missile.
La Russie et l’Ukraine, informe Le Monde, viennent d’engager de "hasardeuses" négociations, qui ont commencé vers midi ce lundi 28 février 2022. D’après Vladimir Makeï, chef de la diplomatie biélorusse - où se déroulent les pourparlers - aucune attaque n’aura lieu durant les discussions.