La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
l'enlèvement qui s'est déroulé le 19 février au Cameroun. Alors que le père de la famille capturée était apparu à bout de force dans un message audio diffusé le 18 mars, le leader de Boko Haram veut faire monter la pression.
"Nous sommes fiers d'annoncer que nous retenons les sept otages français". C'est par ces mots que le chef de la secte islamiste Boko Haram, Abubakar Shekau, commence la lecture du message dans lequel il revendique"La force ne servira pas à les libérer"
"Nous les retenons car les autorités camerounaises et nigérianes ont arrêté des membres de nos familles et qu'ils les brutalisent, et que nous ne savons rien de leurs conditions de détention", détaille Abubakar Shekau dans la vidéo diffusée par i-Télé. Le leader terroriste y apparait calme, en treillis avec une kalachnikov sur l'épaule. Il se montre ferme : si ses exigences ne sont pas satisfaites, il prévient : "la force ne servira pas à les libérer, nous sommes prêts à nous défendre avec force".
Un leader énigmatique
Arrivé à la tête de la nébuleuse Boko Haram à l'occasion de la mort Mohamed Yusuf, le précédent leader et fondateur de la secte, Abubakar Shekau est un personnage énigmatique. Moins charismatique que son prédécesseur, le chef de l'organisation paramilitaire ne fait que de très rares apparitions depuis sa prise de fonction en 2009. Une de ses épouses et de son jeune enfant sont retenus par l'armée nigériane depuis 2012.