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Mardi 12 juin, quand Valérie Trierweiler publie son tweet de soutient à Olivier Falorni, le dissident du PS et rival de Ségolène Royal après avoir appris que cette dernière bénéficiait du soutien de son compagnon, c’est le scandale.
Si Valérie Trierweiler a déclaré à RTL que cette initiative n’avait rien à voir avec de la jalousie à l’encontre de l’ex-compagne de François Hollande, ce n’est pas la première fois que l’on assiste à la preuve d’une rivalité entre les deux femmes.
Valérie Trierweiler en 2007 : "Je ne suis pas allée voter ce jour-là, je ne le pouvais pas, ne le voulais pas"
Constance Vergara, rapporte dans son livre Valérie, Carla, Cécilia, Bernadette et les autres que déjà, en 2007, alors que Ségolène Royal était arrivée au second tour de l’élection présidentielle, Valérie Trierweiler avait refusé d’aller voter pour la candidate socialiste. "Je ne suis pas allée voter ce jour-là, je ne le pouvais pas, ne le voulais pas" aurait-elle déclaré.
La poignée de main Royal - Trierweiler : "C'était dégradant"
Autre scène symbolique de l’inimitié entre Ségolène Royal et Valérie Trierweiler, en avril 2012, pendant un meeting de campagne à Rennes, les deux femmes ne sont pas censées se croiser. C’est sans compter Valérie Trierweiler qui décide d’aller serrer la main à Ségolène Royal… devant les caméras et les photos graphes (voir la vidéo ci-dessous).
Cette dernière, bien que crispée, accepte la main tendue mais enverra un sms à Manuel Valls, le directeur de la communication de François Hollande : "C'est la première et la dernière fois que tu fais ça" lui écrit-elle, persuadée que c’est lui qui a orchestré cette rencontre.
"Je ne suis pas une people, mais une personnalité politique de premier plan. C'était dégradant" a-t-elle ensuite confié à L’Express.
Une jalousie "profonde et irraisonnée"
En mai, après l’élection de François Hollande, c’est Valérie Trierweiler qui fait une véritable crise de jalousie, comme l’a révélé le Canard enchaîné.
En cause : un article publié dans Paris Match, le média pour lequel travaille Valérie Trierweiler, où une journaliste décrit Thomas Hollande comme "l'aîné des quatre enfants du couple Royal-Hollande".
Suite à la parution de cet article, son auteure a reçu un sms furieux de la part de la nouvelle première dame : "Thomas, c'est l'enfant de l'ex-couple Royal-Hollande. A quoi joues-tu ?".
L’Express, qui rapporte les confidences d’un proche, écrit que la première dame souffre d’une jalousie "profonde et irraisonnée" pour tout ce qui touche de près ou de loin à la première femme de son compagnon. "Avec Valérie, tout ce qui concerne Ségolène sort du domaine du rationnel. Il est quasi impossible d'aborder ce sujet devant elle, même sous un angle uniquement politique." déclare cette source.