Chaque fin d’année, Google dévoile son classement des dernières tendances de recherche en France et dans le monde. Tour d'horizon des sujets qui ont marqué l’année 2024 en France.
La crise sanitaire a été l'occasion pour vous d'opérer un changement de vie ? Dans ce cas là, l'achat d'un logement sera peut-être l'une des étapes de ce nouveau départ. Dès lors, soyez vigilants ! Au moment de solliciter un crédit immobilier auprès de votre agence bancaire, prenez tout de même le temps de jeter un oeil chez la concurrence. Bien observer et bien comparer les offres de tous les établissements pourrait s'avérer particulièrement utile.
"On note que chaque banque mène sa propre stratégie en fonction de ses objectifs de production de crédits", explique ainsi Julie Bachet, directrice de Vousfinancer à MoneyVox. "Certains établissements (...) remontent légèrement leur taux pour reconstituer leur marge quand d'autres au contraire les baissent pour capter davantage de clients et élargir leur cible", poursuit cette dernière.
C'est pourquoi il importe de prêter attention à la stratégie de votre établissement, pour ne pas se retrouver à payer plus cher que nécessaire.
Crédits immobiliers : les banques optent pour des stratégies différentes.
Pour certains profils, obtenir un crédit immobilier pourrait donc se révéler un peu plus ardu qu'à l'accoutumée. La mise en place d'un troisième confinement risque en effet de pousser les banques à plus de prudence. Pour les personnes placées en chômage partiel, "cela dépend du secteur d'activité dans lequel ; s' il s'agit d'un secteur très touché par la crise, la banque refusera (Ndlr : le crédit)", prévient le média spécialisé.
La décision de la banque se fera également "en fonction de l'ancienneté professionnelle et de l'épargne de précaution". Le recul des taux d'usures n'arrange, lui, pas forcément les attentes "des plus modestes", poursuivent nos confrères. Il s'agit en effet du taux maximum que les banques ne peuvent pas dépasser, qui a récemment été revu à la baisse. Il n'est ainsi plus possible de le voir excèder les 2,6%.
"Les emprunteurs les plus risqués en termes de santé (séniors, risques aggravés) ou les emprunteurs fragiles à qui on conseille de souscrire une assurance perte d'emploi par exemple peuvent être concernés", explique encore MonyeyVox.