De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Les fêtes de fin d’année sont sauvées. De nombreux Français ont poussé un "ouf" de soulagement mardi 24 en écoutant l’allocution d’Emmanuel Macron sur l’allègement du confinement. Le président a confirmé que des libertés de circulation seraient mises en place les soirs des 24 et 31 décembre, alors qu’un couvre-feu doit entrer en vigueur le 15 décembre. L’occasion pour de nombreux Français de commencer à organiser leur repas du réveillon et de lancer leurs invitations.
Repas de Noël : les plus âgés dans une autre pièce ?
Ce soulagement a vite été suivi d’une interrogation : combien de personnes pourront-elles s’installer autour de la table ? Faut-il convier les plus âgés d’entre nous ? Emmanuel Macron n’a donné aucune indication sur ces détails, rappelant que chacun devait continuer à appliquer les gestes barrière et à protéger ses proches. Il a juste demandé aux Français de "limiter le nombre d’adultes présents". Si cette décision du gouvernement va ravir les Français, elle risque d’inquiéter de nombreux médecins, qui ont tiré la sonnette d’alarme ces dernières semaines. Rémi Salomon, président de la commission médicale d’établissement de l’AP-HP a même conseillé aux Français de séparer les plus âgés du reste des invités, expliquant : "On coupe la bûche de Noël en deux et papy et mamie mangent dans la cuisine et nous dans la salle à manger". Sans aller jusque-là, comment peut-on prendre le moins de risque à table ?
On le sait, les enfants peuvent transmettre plus facilement le coronavirus en étant asymptomatiques, donc sans signe avant-coureur. La première chose est donc de les éloigner le plus possible de leurs aînés. Espacez au maximum les plus âgés du reste de la tablée et si vous le pouvez prévoyez peut-être une deuxième table pour eux, dans la même pièce mais à minimum un mètre de distance de la vôtre. Pour les protéger, porter un masque au maximum lorsque vous n’êtes pas à table.