Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Madame Figaro sa surprise de la bienveillance avec laquelle le public a accueilli son ouvrage. Dans un entretien au magazine, l’ex-épouse de Nicolas Sarkozy revient sur son mariage avec l’ancien chef de l’Etat. L’occasion de revenir sur le rôle de Première dame, une situation compliquée où, selon elle, l’épouse du président se heurte à la question de la légitimité. « Quand vous arrivez là, vous avez le pouvoir que vous voulez bien prendre » estime-t-elle. « Les deux seules options à mon sens sont le caritatif et l’humanitaire, le président n’a pas le temps de s’en occuper. Première dame, ça peut être beaucoup, Danielle Mitterrand l’a prouvé » ajoute Cécilia Attias.« J’admire les gens qui agissent »Loin de cette position parfois inconfortable, elle indique aujourd’hui agir au sein de sa fondation basée aux USA « pour aider ceux et celles qui sont sur le terrain, qui luttent contre le « sex-trafficking », qui réinsèrent les anciennes détenues, qui soutiennent les femmes maltraitées » explique-t-elle. Un rôle qui lui va bien. « Moi j’aime les gens qui font, j’admire les gens qui agissent » confie Cécilia Attias qui, malgré son engagement, fait passer sa famille en premier. Je ne voulais pas passer ma vie sur le terrain, je ne me sens pas capable de le faire à cent pour cent. Ma disponibilité pour ma famille est ma priorité ».Certaines amies divorcé pour se « rendre disponible pour Nicolas »La famille, c’est justement ce qui l’a convaincue de ne pas s’engager elle aussi en politique. « Il y a très longtemps, Nicolas avait envisagé pour moi Neuilly, puis, qui sait, un mandat aux Européennes. Mais Louis était petit, je voulais m’occuper de lui, et je ne me voyais pas sacrifier son enfance à cet engagement. J’ai baigné dans la politique pendant des années, je sais combien elle est passionnante et chronophage » explique Cécilia Attias, qui laisse aussi entendre que la politique change les gens. Elle raconte ainsi que, après sa séparation, certaines femmes de son entourage ont elles aussi divorcé pour se « rendre disponible pour Nicolas ». « L’une s’est remariée… avec son mari ! » confie-t-elle amusée.« Ma famille, c’est la seule vie qui vaille »Aujourd’hui, Cécilia Attias profite de sa nouvelle vie à Manhattan. « On est bien ici, et je jouis de cet anonymat dans lequel je vis. Ça me change après toutes ces années sous pression » déclare-t-elle. Une nouvelle vie qui lui permet de se consacrer aux siens. « Ma famille, c’est ma vie, la seule vie qui vaille » affirme-t-elle. « Cette famille, c’est ce que j’ai réussi de mieux ; il y a pourtant eu des moments où ils en ont bavé… Pour moi, la vie éternelle, c’est ça : être en famille et chérir les miens ».
Une envie de vérité est un succès. Deux mois après la sortie de son livre en librairie, Cécilia Attias confie àA revoir en vidéo : Cécilia Attias confond "fromage" et "chômage"