Une habitante de Ploërmel en Bretagne vivrait depuis plusieurs mois dans son véhicule. Ce type de cas, évoqué de façon récurrente dans la presse, soulève la problématique de la paupérisation des personnes...
Une fois de plus, le Divan de Marc-Olivier Fogiel est l'objet de toutes les révélations... Dernière en date ? Muriel Robin qui se livre mardi 19 février sur ses dépressions et son burn-out. L'humoriste de 60 ans revient sur le diagnostic avec beaucoup d'humour : "C'est la première fois de ma vie que j'entendais le mot burn-out. Il n'avait encore jamais été prononcé en France. D'ailleurs, on le prononce beaucoup à tort. Je connais bien la différence puisque j'ai fait quatre dépressions et un burn-out. Si je devais vous conseiller, je ne saurais pas lequel vous conseiller. Les deux sont bien". Et de poursuivre : "Le burn-out, on est dans une maison dont les quatre murs sont intacts mais l'intérieur est cramé. La dépression, on ressent qu'on est triste, que les autres sont tristes. On a de la compassion, un avenir, on a envie de manger, on ressent les choses... Un burn-out, on ne ressent plus rien" .
La douleur de ne pas exister sur le grand écran
Enfin, c'est avec beaucoup d'émotion que Muriel Robin est revenue sur sa grande peine : celle de n'avoir jamais percé au cinéma, "Le cinéma, mon chéri, celui à qui j'aurais donné toute ma vie. Ce grand amour, il n'aura pas lieu. L'histoire n'est pas finie mais au bout de vingt-cinq ans, vous préférez vous dire que l'histoire n'aura pas lieu. Arrête, arrête avec ça ! Ça m'empêchait d'aller au cinéma. Comme on ne s'intéressait pas à moi, je n'arrivais plus à m'intéresser à eux. Ça me rendait triste". Le gros travail de deuil commence alors : "J'ai fait mon deuil. Gros morceau ! C'est, après le décès de ma mère, mon plus gros chagrin. Je mets le décès de mon père après."
Diffusion : mardi 19 avril à 23h20 sur France 3
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