La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Une réaction qui n’est pas passée inaperçue pendant le confinement. Le 24 avril dernier, Jean-Pierre Pernaut animait sa pastille quotidienne "Le 13 heures à la maison" en duplex de son domicile, dans le journal télévisé animé par son fidèle joker Jacques Legros sur TF1.
Avant de présenter sa chronique, le journaliste de 70 ans ne s’était pas gêné pour critiquer l’attitude désinvolte de certains Français face à la crise sanitaire. Sans pour autant épargner le gouvernement, en taclant les incohérences dans les mesures annoncées pour préparer le déconfinement. "Entre les infos un jour sur un déconfinement par régions, le lendemain ce n'est plus par régions. Un jour, l'école est obligatoire, le lendemain, elle ne l'est plus. Donc tout ça donne le tournis !", avait-il blâmé.
Une "remarque de confiné", pour Jean-Pierre Pernaut
Trois semaines après ses déclarations, Jean-Pierre Pernaut s’est justifié sur cet emportement ce mardi 12 mai dans un entretien pour Azur TV. "On a beaucoup parlé d'un coup de gueule que j'ai piqué, qui n'était pas un vrai coup de gueule", tempère d’emblée le journaliste. "C'est tout simplement une remarque de confiné qui voyait quelques incohérences dans ce qui m'entourait dans ma vie quotidienne. Je l'ai dit, tout simplement".
Plus loin dans l’interview, l’époux de Nathalie Marquay étaye le fond de sa pensée. "Il est rare, peut-être, d'avoir un journaliste qui soit dans la vie quotidienne comme cela, avec les gens. Donc je réagis comme les gens qui ont partagé ce confinement pendant si longtemps". Pour autant, cette prise de position n’a aucunement desservi Jean-Pierre Pernaut, alors plusieurs rumeurs annonçaient que le présentateur du 13 heures ne reviendrait pas en plateau avant un long moment.