La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
A la mi-novembre : tous les indicateurs "montraient une tendance à la hausse" du Covid-19 dans presque tous les départements, selon le dernier bulletin de Santé publique France, revient le site.
D'après sa carte intéractive, qui suit au jour le jour le taux d'incidence de chaque territoire, une hausse du nombre de cas. Si une vague épidémique aussi forte que ces dernières années n'est pas à craindre , le virus pourrait bien gâcher les fêtes de fin d'année de nombreux Français malgré tout.
C'est dans la région Grand-Est que le taux d'incidence s'emballe depuis quelques semaines. Du 13 au 19 novembre, on dénombrait 111 cas pour 100 000 habitants dans le Bas-Rhin. Ce département affiche le taux d'incidence le plus important de France.
À l’inverse, l'Ile-de-France est pour l'instant la région la plus épargnée par la reprise du virus. L'Essonne affiche le taux le plus bas du pays avec 7,8 cas pour 100 000 habitants, indique le site du jour Centreaveyron.
Un rebond en Occitanie
Si tous les indicateurs étaient en forte baisse en Occitanie depuis la fin de l'été, un rebond est à présent constaté. On fait le point sur l'évolution du taux d'incidence évalué entre le 13 et 19 novembre, en le comparant aux données datant du 23 au 29 octobre. Une hausse est constatée dans tous les départements. Elle a été la plus forte en Aveyron et dans le Tarn-et-Garonne, même si les chiffres ne montrent rien d'alarmant pour l'instant. Au début de l'épidémie, le seuil d'alerte était fixé à 50 cas pour 100 000 habitants, rappelle le site du journal.
"On ne va pas observer des grandes vagues épidémiques"
"Pour les fêtes, ce qu'il est probable qu'il surviendra c'est une augmentation du nombre de cas d'infections à coronavirus. Mais on ne va pas observer des grandes vagues épidémiques comme on l'a vu précédemment", a commenté sur BFMTV le virologue lyonnais Bruno Lina, membre du Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires (Covars).
Si le Covid-19 n'est plus une priorité, le virus reste néanmoins "une menace" a rappelé l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en début de semaine. La vaccination reste l'une des meilleures protections, alors 19,6 % des personnes âgées de plus de 65 ans ont reçu une dose de rappel depuis la campagne de vaccination lancée le 2 octobre 2023, selon Santé publique France.
Tout le monde peut se faire administrer une dose de rappel, mais elles sont tout particulièrement adressées aux populations à risque : les personnes âgées de 65 ans et plus, les personnes à risque de forme grave, les immunodéprimés, les femmes enceintes, les résidents en Ehpad, les personnes en unités de soins de longue durée et toutes les personnes qui vivent aux contacts des catégories vulnérables citées, rappelle le site.
Voici, dans notre diaporama, la liste des départements où le virus repart à la hausse avec les taux d'incidence actuels :