La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Son décès avait beaucoup fait parler dans les médias. Le 23 août 2012, Jean-Luc Delarue s’éteignait à l’âge de 48 ans, emporté par un double cancer de l'estomac et du péritoine, à Neuilly-sur-Seine. Une figure phare du paysage audiovisuel français des années 2000, réputée pour ses émissions de débat sur le service public et ses frasques.
À la suite de cette tragique disparition, le célèbre animateur et producteur laissait derrière lui un héritage fructueux qui avait divisé sa famille. Une saga judiciaire à laquelle s’est penchée l’émission Héritages diffusée ce jeudi 9 décembre sur NRJ12. "Aujourd'hui, la succession a été réglée", confiait le notaire Me Fabian Regairaz, entre son fils Jean (née de sa relation avec Elisabeth Bost) et sa dernière épouse Anissa Khel.
Une incroyable somme pour le fils unique de l’animateur
Avant d’énumérer les faits suivants. "La société Réservoir Prod a été vendue 14 millions d'euros. Les appartements sont évalués à 8 millions d'euros. Par conséquent, nous avons un total de 22 millions d'euros". Comme le stipulait le testament du défunt présentateur, ses biens ont été partagés à parts égales entre sa veuve et son fils unique âgé aujourd’hui de 15 ans. "Jean a touché 11 millions euros. Anissa 11 millions également, comme il a été prévu dans le codicille. Mais évidemment Jean a dû payer 45% de droits de succession. Si bien que in fine il n'a touché qu'un peu plus de 6 millions d'euros", a détaillé le notaire.
Un partage des biens qui avait été mal accueilli par les parents de l’animateur et son ex-compagne Elisabeth Bost, qui avaient choisi de se tourner vers la justice pour régler ce conflit familial. Alors que la journaliste de 42 ans devait également protéger son fils Jean après la mort de son père, elle avait publié son livre Grandir avec l’absence (aux éditions Robert Laffont), paru en avril dernier. L’occasion d’évoquer comment mère et fils ont surmonté ensemble leur deuil sans cette figure paternelle.
"Après le décès du père de mon fils, j’ai cherché des figures pouvant lui servir d’exemple. J’avais besoin de lui démontrer que, même en étant orphelin, on pouvait accomplir de grandes choses. Ce livre en est la preuve, je l’ai fait pour mon fils et tous les enfants dans sa situation", a-t-elle raconté auprès de Télé Loisirs en 2019.