La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Une durabilité record.Frelons asiatiques, moustiques tigres, punaises vertes... Tandis que l'automne a commencé depuis plusieurs semaines en France, certaines espèces d'insectes, vraisemblablement dérangées par le changement climatique, continue de prospérer et par conséquent de perturber notre quotidien.
Si leur période d'activité s'étend habituellement de mai à septembre, beaucoup d'insectes sont en contrat prolongé jusqu'à fin octobre et même jusqu'à la fin du mois de novembre prochain pour certains. "Très clairement l’impact climatique a une influence sur la persistance des colonies", constate pour 20 Minutes, David Giron, directeur de recherche au CNRS et directeur de l’Institut de Recherche sur la Biologie de l’Insecte (IRBI).
Une disparition programmée pour bientôt ?
Selon Météo France, le mois de septembre a été le plus chaud jamais mesuré en France, entre 3,5 et 3,6 °C au-dessus des normales de la période 1991-2020. Cette chaleur exceptionnelle pour la saison s'est poursuivie sur les 10 premiers jours d'octobre, avec la barre des 30 degrés franchie régulièrement.
Si le réchauffement de la planète se poursuit, faut-il s'attendre à plus d'insectes toute l'année ? "Imaginons, l'hiver disparaît, on a vraiment des températures clémentes toute l'année. Ça peut avoir deux effets.. des espèces qu'on ne voit que l’été, on les aurait tout au long de l'année. Ça pourrait être le cas de certaines espèces de moustiques par exemple", indique M. Giron.
Outre cette conséquence qu'est le réchauffement climatique, d'autres causes proviennent de cette prolifération. Découvrez-les dans notre diaporama ci-dessous.