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Le Lab d’Europe 1.Candidat aux sénatoriales aux côtés du FNSur le cliché, on peut voir Franck Margain poser aux côtés de NKM, et de Valérie Montandon, militante UMP parisienne. Mais une quatrième personne se trouvait sur la photo originale (voir ci-dessous), et qui a donc été coupée au recadrage. Il s’agit d’Emmanuel Delhoume, un ancien candidat aux sénatoriales de 2011, étiqueté alors « divers-droite », qui partageait une liste avec des membres du FN. Une présence qui faisait visiblement désordre sur la photo.« Je n’accepte pas le qualificatif d’extrême-droite »Sur son blog, Emmanuel Delhoume se revendique royaliste. « Je n’appartiens à aucun parti, je suis royaliste et je n’accepte pas le qualificatif d’extrême-droite » tient-il à préciser à L’Express. Aux élections européennes de 2009, il soutenait les candidats du MPF, le parti de Philippe de Villiers, mais affirme ne pas appartenir au Front national, ni au Rassemblement Bleu Marine. Il a ensuite milité pour le PCD, le parti de Christine Boutin dont Franck Margain est le vice-président.
Pas vu, pas pris ? C’est ce qu’a dû penser Franck Margain en retouchant la photo. L’ancien adversaire de Nathalie Kosciusko-Morizet aux primaires de la droite dans la course à la mairie de Paris, aujourd’hui rallié à la candidate de l’UMP, a subi les foudres de la communauté Twitter à cause d’une photo qu’il a publiée sur son compte FlickR, et sur laquelle il a tenté de faire disparaître une personne visiblement jugée gênante, rapporte