La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Une santé fragile qui inquiète. Depuis l'annonce de son cancer en février 2024, la santé du roi Charles III est au coeur de toutes les attentions. Il faut dire que depuis le début de cette année, la famille royale britannique fait couler beaucoup d'encre.
Kate Middleton et le roi Charles III sont atteints d'un cancer
Alors que le souverain anglais de 75 ans est atteint d'une forme de cancer, sa belle-fille, la princesse de Galles Kate Middleton, annonçait via une vidéo partagée sur la toile qu'elle était également atteinte d'un cancer et qu'elle ne pouvait remplir ses obligations royales.
Comme son beau-père, l'épouse du prince William avait dû subir une opération qui, après des examens poussés, a dévoilé une forme de cancer. "En janvier, j'ai subi une importante intervention abdominale à Londres. À ce moment-là, nous pensions que mon état n'était pas lié au cancer", avait-elle déclaré et de poursuivre : "Les tests après celle-ci ont montré qu’un cancer avait été présent". Aujourd'hui, la princesse de 42 ans doit suivre un traitement préventif en chimiothérapie et, comme le monarque, elle va devoir lever le pied. Si l'état de santé de ce dernier était amené à se dégrader, quelles en seraient les conséquences ? Pourrait-il abdiquer et laisser la place à son fils, le prince William ?
Le prince William nommé régent ?
D'après Kévin Guillot, spécialiste de la monarchie et auteur du site Monarchiebritannique.com, l'abdication ne serait pas une option puisqu'elle ne s'inscrit pas dans la tradition britannique.
"Il faudrait vraiment que le roi ne puisse plus du tout régner à cause de son état de santé pour que l'on arrive à ce cas de figure. Par contre, une régence officielle pourrait être décrétée en cas d'impossibilité de sa part. Le prince William serait nommé régent et règnerait à sa place sans porter la couronne", nous a-t-il expliqué et d'ajouter que ce cas de figure avait déjà existé : "Il y a déjà eu un précédent dans l'histoire britannique. De 1810 à 1820, le futur roi George IV fut le régent du roi George III, plongé dans la folie jusqu'à sa mort".