La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Alerte canicule. Du lundi 11 juillet 2022 au dimanche 17 juillet de la même année, un “immense dôme de chaleur” s’installe sur le Maghreb et tout ou partie de l’Europe, informe La Chaîne Météo sur son site. Une telle situation place malheureusement la France au cœur d’une cruelle coupole “d’air torride”. Il faut donc, précisent les météorologues, s’attendre à des températures records, sinon caniculaires. De quoi pousser celles et ceux qui le peuvent à se jeter à l’eau ! Les plus chanceux sont aussi les heureux propriétaires d’une piscine personnelle…
Malheureusement, une dépendance coûte cher. A la construction, d’abord, puis au moment de la déclaration d’impôts ensuite. Sauf, souligne Maisons & Travaux sur son site, à opter pour le bon modèle. Il faut, dans ce cas de figure précis, décider de la construction d’une “mini-piscine”, laquelle ne saurait être imposable. Non moins intéressant : il n’est pas nécessaire d’engager la moindre démarche administrative ou légale pour pouvoir y prétendre.
Qu’est-ce qu’une mini-piscine au juste ?
Une mini-piscine, poursuivent nos confrères, correspond à un type de construction très spécifique : il s’agit d’un bassin dont la surface est inférieure à 10m². Au-delà de cette mesure, il faudra payer une taxe d’aménagement dont le coût forfaitaire s’élève à 200 euros par m². Elle doit être réglée un an après l’acquisition du permis de construire et/ou de la déclaration des travaux.
S’il est nécessaire d’engager des travaux de maçonnerie, pour enterrer la piscine par exemple, il faudra aussi payer une augmentation de taxe foncière.