La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Jean-Pierre Pernaut entrera-t-il bientôt en campagne ? Venu présenter son magazine baptisé "Au coeur des régions", Jean-Pierre Pernaut a expliqué ce lundi 31 août sur le plateau de TPMP qu'il souhaitait mettre en lumière les initiatives des Français pour le terroir français, mais aussi s'interroger sur des grands thèmes de société à l'instar de l'écologie.
Un engagement avec un magazine militant qui a poussé le chroniqueur Guillaume Genton à l'interroger sur une possible carrière en politique. "Pour l'instant non, mais pourquoi pas !", a répondu à la surprise générale l'ancien présentateur emblématique du JT de 13 heures de TF1. "Tiens, c'est dans combien de temps, dans combien de mois ? C'est dans pas longtemps...", a ajouté le journaliste de 71 ans.
"Pourquoi pas un jour ! Au niveau régional ou national"
"La présidence pourquoi pas ? On n'a pas dit notre dernier mot !", a même assuré Jean-Pierre Pernaut, en s'adressant au présentateur Cyril Hanouna. Des déclarations choc sur l'élection présidentielle qui ont surpris les chroniqueurs, mais qui semblaient être avancées sur le ton de la dérision. Le journaliste a, en effet, assuré un peu plus tard qu'il plaisantait et que la politique était un "vrai métier" qu'on ne pouvait pas improviser.
"Je rigole ! Parce que la politique, c’est un métier. Président de la République c'est des responsabilités tellement énormes... Les rigolos qui y vont je ne trouve pas ça bien !", a confié celui qui animera désormais une émission sur l'argent sur LCI dès la rentrée. "Quand je vois les difficultés qui se sont abattues sur la France depuis quelques années : les gilets jaunes, la crise du Covid... Oh la la, je ne voudrais pas être à leur place", a reconnu l'ex-star du 13h.
Mais si devenir de chef de l'État n'est pas une aspiration pour Jean-Pierre Pernaut, il ne ferme toutefois pas la porte à l'exercice de fonctions politiques un jour. "Mais pourquoi pas un jour ! Au niveau régional ou national...", a-t-il assuré. En revanche, pas question pour lui de soutenir publiquement un candidat, quelle que soit la formation politique. "Non parce que je suis journaliste, et donc je ne soutiens personne. Y a des gens que j'aime bien...", a assuré le journaliste.
Jean-Pierre Pernaut avait reconnu par le passé son côté "un peu provocateur", connu pour ses coups de gueule. Pour autant, pas question d'assumer un positionnement pour un parti politique. "Je la cultive l’image du réac' mais ce n’est pas le réac', c’est le mec qui est attaché à des racines, à des cultures régionales", avait récemment expliqué l'ancienne star de l'info de TF1. En septembre sur LCI, le présentateur Darius Rochebin expliquait avoir des difficultés à le situer politiquement, contrairement à un PPDA "vaguement jeune giscardien" ou à une Anne Sinclair "plutôt de gauche".
L’intervieweur suisse lui avait alors directement demandé s'il se sentait "conservateur", expliquant qu'il doutait que le journaliste ait déjà voté pour l’extrême gauche. "Qu’est-ce que vous en savez ?", lui avait alors rétorqué Jean-Pierre Pernaut, dont le nom figurait toutefois en 1983 sur une liste UDF-RPR aux municipales d’Amiens. La retraite ne semble en tous les cas pas d'actualité pour Jean-Pierre Pernaut.