Paul G., 31 ans est accusé d’avoir violé Gisèle Pelicot en 2016. Il a reconnu les faits dans leur totalité ce vendredi 8 novembre, avant de faire part à la cour de son souhait de devenir pasteur.
« Il avait une relation avec une femme que je haïssais ». C’est ainsi qu’a justifié une Japonaise de 61 ans le meurtre de son mari. Dimanche soir, furieuse après son époux qui entretenait une relation extraconjugale avec une autre femme, elle a donc décidé de le tuer. Elle a attrapé une tasse à thé et l’a violemment frappé au visage et sur le crâne, au plein milieu de leur salon. L’homme, âgé de 70 ans, un ingénieur dans le domaine de la communication et professeur honoraire à l’université de Yokohama, a été transporté à l’hôpital par les secours, mais il est décédé des suites de ses blessures, ont rapporté les médias japonais. « Cela m’a rendu folle et je l’ai frappé plus d’une dizaine de fois avec une tasse » a avoué la femme à la police. Elle a été arrêtée.