La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
A son retour à Londres après avoir signé le 30 septembre 1938, au côté du français Edouard Daladier, les accords de Munich, le Premier ministre britannique Neville Chamberlain fut ainsi apostrophé au Parlement par Winston Churchill. Ce dernier lui reprochait d’avoir lâchement abandonné la Tchécoslovaquie à Hitler en échange d’une promesse de paix, à laquelle Churchill ne croyait pas. Il avait raison ! En effet, le dictateur allemand avait obtenu ce qu’il voulait mais ne respecta pas son engagement.
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En s’exprimant ainsi, Winston Churchill allait à l’encontre de l’opinion publique tant anglaise que française, convaincue que les accords de Munich avaient définitivement éloigné le spectre de la guerre et garantissaient la paix.
L’autre signataire de ces accords, le président du conseil Edouard Daladier, partageait, sans l’avouer publiquement, le sentiment de Winston Churchill : en voyant la foule en liesse l’accueillir à son retour en France, il aurait déclaré à son aide de camp : "Les cons ! S’ils savaient !"…
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