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En avril 1814, Napoléon 1er abdiqua et fut exilé à l’île d’Elbe. Le maréchal Ney, qui s’était couvert de gloire à ses côtés au point d’être surnommé "le brave des braves" par l’empereur, se rallia immédiatement au nouveau souverain, Louis XVIII. Moins d’un an plus tard, Napoléon débarqua à Golfe Juan, bien décidé à gagner Paris et à reprendre le pouvoir. Pour arrêter sa marche et le faire prisonnier, Louis XVIII envoya le maréchal Ney. Ce dernier promit de "ramener l’usurpateur dans une cage de fer".
Mais, en retrouvant Napoléon à Auxerre, il… tomba dans ses bras et rejoignit ses troupes. Il se battit ensuite héroïquement à ses côtés à Waterloo.
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Après la chute de l’empereur et son départ pour Sainte-Hélène, Ney, qui avait trahi, devint un proscrit, se cachant dans la région du Lot. C’est là qu’il fut arrêté en août 1815 puis traduit devant la justice. Pour tenter d’éviter sa condamnation, son avocat avança que le maréchal, né à Sarrelouis, ville cédée à la Prusse en 1814, ne pouvait être jugé par un tribunal français. Mais Ney balaya cet argument pourtant en sa faveur en affirmant : "Je suis français, je veux mourir français".
Il fut fusillé le 7 décembre 1815.