La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Après une baisse de la consommation en énergie de 12% cet hiver, la ministre de la Transition Energétique appelle à ne pas relâcher nos efforts et présente un nouveau plan de sobriété énergétique. "La sobriété, c’est toute l’année y compris l’été", expliquait le 20 juin au Parisien, Agnès Pannier-Runacher.
Cette fameuse feuille de route comprend une mesure qui peut interpeller bon nombre de Français. Il s’agit du "plan thermostat". D’après la ministre de la Transition Energétique, cet outil permet de réduire sa consommation d’électricité de près de 15%. Ce plan, réunira bon nombre de professionnels du secteur. Fabricants, distributeurs et fournisseurs d’énergies devront s’organiser afin de lancer officiellement ce plan qui pourrait potentiellement concerner la France entière.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Même si de nombreux Français sont déjà équipés de ce dispositif permettant de suivre sa consommation électrique en temps réel, une réelle disparité semble gêner le gouvernement dans sa quête de sobriété énergétique. En plus d’un suivi mensuel, il est par exemple possible de baisser la température voire même d’éteindre le chauffage. Autant dire que le thermostat peut devenir un atout pour les consommateurs souhaitant alléger leurs factures mensuelles.
On se pose souvent la question de savoir si cet appareil se marie avec tous types d’installations. La réponse est oui, d’après Mathieu Bineau, directeur général de Voltatis, entreprise spécialisée dans la fabrication et la distribution de thermostats, comme il l'explique à Capital. Par ailleurs, les chiffres quant au nombre d’installation progressent chaque année. "Depuis 15 ans, nous avons déjà installé 1 million de thermostats et nous prévoyons de multiplier par 6 notre rythme d’installation. L’objectif est d’atteindre 2,5 millions de radiateurs équipés d’ici 2025", suggère-t-il. Autant dire que l’objectif affiché par le gouvernement semble en bonne voie.