La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Impôts locaux. Peut-être faites vous partie des 20% des Françaises et des Français qui doivent encore s’acquitter de la taxe d’habitation sur leur résidence principale. Si tel est le cas, c’est donc que vous appartenez au cercle fermé - quoique relativement poreux - des ménages les plus aisés du pays. En effet : les autres n’ont simplement plus à s’acquitter de cet impôt, ainsi que l’a souhaité Emmanuel Macron.
Pour autant, cela ne signifie pas que la taxe d’habitation n’existe plus. Parce qu’elle concerne aussi les résidences secondaires, elle est susceptible d’être encore payée par certains contribuables ! Et il est quelques cas très spécifiques qui peuvent poser question. Par exemple, les colocataires doivent-ils payer la taxe d’habitation ? Théoriquement… Non. Du moins, pas tous, explique le site spécialisé Tacotax. Seul le locataire en titre, dont le nom figure sur le bail, doit quelque chose au fisc. Cependant, il est d’usage de partager les frais entre les différents habitants. Il en va de même pour les concubins, précise le site des impôts. "Si vous occupez à plusieurs votre logement ( colocataires ou concubins), une seule taxe d'habitation est établie, au 1er janvier de l'année concernée, au nom d'un seul des occupants. C'est donc cet occupant qui devra payer la taxe d'habitation", peut-on en effet y lire.
Taxe d’habitation : quid des pensionnaires de maison de retraite ?
Pour l’essentiel, rappelle Le Figaro Particulier, les pensionnaires de maison de retraite doivent aussi s’acquitter de la taxe d’habitation correspondant à leur adresse de résidence, pour peu qu’ils occupent un logement privatif dans l’établissement. Ils sont alors assujettis à la taxe d'habitation dans les conditions de droit commun, dont les modalités de calcul sont les mêmes que pour les autres contribuables.
Cependant, ils sont parfois exonérés, sous conditions. Avant la suppression partielle de l’impôt local, c’était le cas quand ils perçoivent des revenus modestes, comme pour n’importe quel autre contribuable.