La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
La réponse à deux mois de mystère. Aurélie Vaquier, 38 ans, a disparu à la fin du mois de janvier, mais l’alerte n’a été donnée qu’un mois plus tard par son compagnon. Après plusieurs semaines de recherche dans les environs de Bédarieux (Hérault), les enquêteurs ont finalement retrouvé son corps à son domicile, dissimulé sous une dalle de béton. Selon les informations de Midi Libre, il s’agit bien de la disparue, qui a pu être formellement identifiée grâce à sa dentition, un piercing et deux tatouages.
Affaire Vaquier : "Il affirme ne pas être impliqué dans le décès de la jeune femme"
Son compagnon, Samire L., a été placé en garde à vue mercredi 7 avril, en début d’après-midi, peu de temps après cette découverte. Que s’est-il passé dans cette ancienne galerie d’art, où le couple avait fait des travaux ? Interrogé par le quotidien local, le procureur de la République de Béziers, Raphaël Balland, explique : "Jusqu’à présent, il affirme ne pas être impliqué dans le décès de la jeune femme, il dit ne pas comprendre ce qui a pu se passer et pourquoi ce corps a été retrouvé au domicile du couple". L'homme de 39 ans fait figure de principal suspect, dans cette enquête qui ne fait donc que commencer.
Dans une interview à Midi-Libre, Samire L. est revenu, le 16 mars dernier, sur les premiers jours de la disparition d'Aurélie Vaquier, expliquant que "le 28 janvier, elle m’a laissé un message, elle m’a dit qu’elle en avait marre, qu’elle voulait partir écrire un livre". Reparti dans l’Ain – dont il est originaire – le trentenaire ne serait revenu à Bédarieux qu’au début du mois de février et aurait remarqué son absence à ce moment-là.