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"Il a dit des choses sur mes enfants que je ne lui pardonnerai pas"
Entre Johnny Hallyday et Michel Sardou, la hache de guerre n’est toujours pas enterrée. Il s’avère que les deux chanteurs sont brouillés depuis 2013. Le chanteur du "Lac du Connemara" a déclaré en plein concert, à propos de Johnny Hallyday et sa fille Jade : "Maintenant qu'il a un chalet à Gstaad, Hallyday va pouvoir mettre sa Vietcong au ski".
Une blague peu convenable à laquelle Johnny Hallyday a souhaité répondre sur le plateau du "Grand Journal", sur Canal+ : "Il faut être responsable de ce que l'on dit dans la vie, et il a dit des choses sur mes enfants que je ne lui pardonnerai pas".
Fin 2017, le producteur du rockeur, Jean-Claude Camus, a expliqué dans son livre "Pas né pour ça", que ce "clash" venait surtout de l’amertume qu’éprouve Michel Sardou à l’égard de Johnny Hallyday : "Il était au sommet de sa carrière et vendait des millions de disques. C'est ensuite que, petit à petit, les chiffres des ventes se sont inversés entre Johnny et lui, d'où peut-être une certaine amertume de sa part", rapporte Gala.
"Haha Booba, c'est qui?"
Dans une interview accordée à SudInfo.Be, Booba a donné son point de vue sur la carrière de Johnny Hallyday. A la question : "Johnny Hallyday a 70 ans. Tu vois encore sur scène à 70 ans ?", il a répondu : "Non. Sûr et certain. Et puis je ne suis pas admiratif de sa carrière, bien que je n’ai rien contre lui. Je ne trouve pas qu’il a été au top tout au long de sa carrière. Il n’a pas traversé le temps, il n’a réussi que grâce à ses fans. Aujourd’hui, il n’a pas de hits. Et il a eu besoin de compositeurs pour rebondir : Obispo, Goldman… Moi, j’écris mes paroles. On n’a pas le même parcours. Je ne rêve pas de sa carrière".
Pour sa défense, le rocker a publié sur son compte Twitter "Haha Booba, c’est qui ?", avant d’ajouter une photo de lui avec son ami, le rappeur JoeyStarr du groupe NTM, en citant "Voici un bon rappeur".
Clash Adeline Blondieau
Le couple star, qui s’est à la fois aimé et détesté : Adeline Blondieau et Johhny Hallyday, se marieront deux fois avant que celle-ci ne l’accuse de viol plusieurs années après : "Il m'a violée quand j'avais 14 ans, 15 ans, chez mes parents. (...) Il a abusé de moi. On n'en a jamais parlé lui et moi. C’était un secret très violent, mais qui nous liait aussi d'une certaine façon", a-t-elle assuré en 2015, lors d’une audience au tribunal correctionnel, explique le Figaro.
Pour sa défense, le chanteur a expliqué dans un communiqué : "Adeline Blondieau est coutumière de propos malveillants et répétitifs prononcés à l'encontre de mon client qui ne commentera pas ses nouvelles déclarations calomnieuses et grossières". Un passage qui figure dans l’autobiographie du rockeur : "Adeline était hystérique, à la moindre contrariété, elle balançait les chaises par la fenêtre. (...) C'est un serpent, elle me cocufiait tout le temps. Elle me trompait avec tous les petits mecs de Saint-Tropez et jouait les saintes-nitouches".
Clash Henri Salvador
"Sortez-le ! Il est indigne de la chanson Française !", a déclaré Henri Salvador, à la fin du concert de Johnny Hallyday à l’Alhambra, en 1960. Le rocker a décidé de rétorquer en expliquant : "Salvador, qui disons-le franchement était un vieux con. Michel Polnareff m'a raconté bien plus tard qu'il était dans la salle avec ses parents et qu'ils lui avaient flanqué une baffe pour avoir dit préférer la première partie au reste du spectacle. J'étais devenu le mec qui incarnait le conflit de générations", rapporte l’Express.
Clash Claude François
"Claude François, c'était un vrai travailleur. Il bossait dix fois plus que moi", raconte Johnny Halllyday dans son ouvrage "Dans mes yeux". Pourtant, malgré son succès professionnel, du côté des filles, il en était tout autre, rapporte l'Express.
Il s’avère que "Cloclo" était loin d’être un véritable expert de la séduction, sous-entendu le rockeur : "il n'arrivait jamais à faire ce que je faisais. Ça le rendait fou. Jaloux. Il draguait mes nanas et, en désespoir de cause, il se tapait mes ex. C'était le circuit, tu savais que si tu sortais avec moi, tu pouvais ensuite te faire Cloclo. Parfois pour draguer je disais en me marrant : ‘Il te plaît, Claude François ? Tu veux sortir avec lui ? Alors viens sur mes genoux !' Ou quand je plaquais une fille je lui disais de se consoler, que bientôt elle serait avec Cloclo".