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"Embrasse-moi sur la bouche"
Le 6 mai 2012, alors que François Hollande venait tout juste de saluer son ex-compagne, Ségolène Royal, Valérie Trierweiler l’a attrapé par le col et lui a instamment demandé de l’embrasser "sur la bouche". Une manière bien à elle de marquer son territoire face à celle qu’elle considère comme une rivale.
L'affaire du tweet
"Courage à Olivier Falorni qui n’a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d’années dans un engagement désintéressé". Ce message posté par Valérie Trierweiler sur Twitter pendant les dernières législatives a véritablement semé la zizanie au sein du PS. Une fois encore, la Première dame s’est laissée dépasser par sa jalousie : Olivier Falorni était en effet l’adversaire de Ségolène Royal pendant ces élections.
Et alors que 69% des Français ont ensuite déclaré être contre ce tweet, Thomas Hollande, le fils du président de la République, aurait même reproché à sa belle-mère d’avoir "fait basculer la vie privée dans la vie publique".
Les photos en maillot de bain
Les premières vacances du couple Trierweiler-Hollande en tant que Première dame et président de la République n’ont pas été de tout repos. Et pour cause : la compagne du chef de l’État a attaqué Closer et Voici en justice après que ceux-ci aient publié des photos d’elle et de son conjoint… en maillots de bains à Brégançon.
Une démarche qui a été très mal vue, notamment chez les confrères journalistes de Valérie Trierweiler. "De qui se moque-t-on ?", s’était alors interrogé l’un deux avant d’ajouter : "De tout évidence, Valérie Trierweiler continue de penser qu’elle peut régenter les médias".
"La Frondeuse", le livre qui la dérange
Valérie Trierweiler n’a pas non plus hésité à sortir la carte de la justice lorsque le livre d’Alix Bouilhaguet et Christophe Jakubyszyn est sorti à l’automne dernier. Alors que dans cet ouvrage, les deux auteurs assurent, entre autres, que la Première dame a eu une liaison avec Patrick Devedjian, cette dernière a véritablement vue rouge. Une affaire qui, une fois encore, n’a pas manqué de nuire son image déjà bien entachée.
Le grand désamour avec Claude Sérillon
Si Valérie Trierweiler a souvent fait parler d’elle dans les médias, elle n’en a pas moins fait trembler les murs de l’Élysée. Le Point rapporte en effet que la Première dame livrerait une guerre sans merci à Claude Sérillon, le conseiller du président. Après s’être si bien entendus pendant la campagne de François Hollande, ils seraient à présent en froid.
En cause : l’arrivée de Claude Sérillon dans l’équipe de communication du chef de l’État et le fait qu’il se serait "mêlé de la vie" intime de la journaliste chez Paris Match.
Elle écarte violemment un journaliste
Valérie Trierweiler a bien montré qu’elle ne se laissait pas faire, notamment au travers de la relation plus que tendue qu’elle entretient avec Ségolène Royal. Loin de n’écarter que ses prétendues rivales, la Première dame sait aussi se montrer quelque féroce lorsqu’il s’agit de "protéger" l’homme qu’elle aime.
Ainsi, lors d’un déplacement à Tulle, elle n’a pas hésité à écarté violemment un caméraman qui s’approchait un peu trop près du président Hollande. "Ça va là maintenant, ça va !", lui a-t-elle-même lâché, ignorant toutes les autres caméras alors présentes et filmant cette scène.
Toujours journaliste, oui mais
Tenant à son indépendance financière, Valérie Trierweiler a choisi de demeurer journaliste chez Paris Match. Et alors que son nouveau statut de Première dame ne lui permettait pas de rester au service politique, elle s’est retrouvée affectée aux pages culture du magazine. Mais si elle fait toujours partie de cette maison 22 ans après son entrée, elle n’hésite pas à se montrer très critique à l’égard de ses chefs. En témoigne le message qu’elle aurait laissé à l’un deux après la publication d’une photo d’elle et François Hollande main dans la main au jardin du Luxembourg : "Je viens de découvrir ton journal de merde !".