Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Sa phrase "Gnagnagna, pauvre conne !" avait fait le tour du web après qu'il a été chahuté lors d'une soirée à Nuit Debout, place de la République, à Paris. Le philosophe et académicien Alain Finkielkraut est revenu sur ces faits jeudi soir dans l'émission "C à vous". Avec une comparaison pour le moins surprenante.
"Je devrais le breveter. C’est comme Nabilla, c’est mon ‘non mais allô quoi’", a ainsi déclaré Alain Finkielkraut sur France 5. Et d'ajouter plus sérieusement : "Il faut faire attention à ne pas se prendre soi-même trop au sérieux, d’où la comparaison".
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"Je ne suis pas imperturbable"
Le philosophe a par ailleurs expliqué sa réaction très médiatisée face à une femme qui le menaçait, selon lui. "Elle était derrière moi, les propos étaient extrêmement violents, elle ne cessait de marteler : 'Des coups de lattes, des coups de lattes, des coups de latte' et, n’en pouvant plus, je lui ai dit ce 'gnagnagna'. Franchement, j’ai été poussé à bout, j’aurais pu partir silencieusement, imperturbé, malheureusement je ne suis pas imperturbable", a-t-il expliqué.
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