La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Durant les périodes de vacances, les places sont souvent prises d’assaut. Il est donc recommandé de s’y prendre à l’avance. Ou bien de repérer celles convenant en cas d’éventuels futurs besoins.
Etat des lieux
Différentes formules existent. Lorsque l’on place son chien ou chat dans une pension, l’idéal est de pouvoir aller sur place auparavant afin de vérifier l’état sanitaire de l’endroit, les conditions d’hébergement, etc.
Le prix dépend de la "qualité" de l’établissement et des prestations offertes. Des sorties sont-elles prévues ?, existent-ils des aires de jeux, des endroits ombragés ? Le couchage est-il individuel ou collectif (cela relève dans ce dernier cas aussi du caractère de l’animal et de sa possibilité à cohabiter avec d’autres) ?
Généralement, le coût de l’alimentation vient s’ajouter à celui du séjour. L’avantage des pensions est qu’elles sont pour la plupart tenues par des professionnels. Ils doivent en tout cas disposer d’un certificat de capacité leur autorisant de travailler auprès d’animaux de compagnie, ainsi que d’une assurance spécifique.
La même exigence devra être obtenue de la part des services qui se sont développés, faisant appel à différents "prestataires", et qui permettent de faire garder désormais son animal différemment : placement en famille d’accueil, dogsitter, catsitter ou retraités venant s’installer dans le lieu de résidence pour s’occuper de l’animal et éviter ainsi dans le même temps que la maison ou l’appartement ne reste inoccupé, etc.
Autres solutions : faire appel à de la famille, des amis, des voisins. Ou bien encore procéder par échange avec d’autres propriétaires d’animaux… un autre mode de garde d’animaux apparu sur le Net.
Couverts en cas de transfert de garde
Il faut dans tous les cas que ces gardiens soient couverts par la société qui les "recrutent" ou bien qu’ils disposent d’une assurance responsabilité civile s’ils le font à titre individuel. Puisqu’il y a là aussi "transfert de garde", ceux qui auront en charge l’animal devront en répondre en cas de problème causés à un tiers.
Quel que soit le mode retenu, l’animal devra être identifié – ce qui est de toutes façons une obligation pour tous les chiens et pour les chats nés après le 1er janvier 2012 et âgés de plus de 7 mois -, être correctement protégé contre les parasites internes et externes. Ses vaccins devront être à jour.
Si l’animal suit un traitement, un régime, etc. il faudra le signaler. Laisser le contact du vétérinaire traitant et un numéro où le maître pourra être joint en cas de problème est également une bonne précaution. Enfin, il sera possible de rappeler les petites "manies", habitudes, et défauts le cas échant de son compagnon.
© 123rf